« Quelle voie emprunter si nous voulons avoir des conséquences différentes de celles que nous avons aujourd’hui, politiquement dangereuses et néfastes ? », s’est interrogé Jean Ariel Joseph, l’actuel président de la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif (CSC/CA). La formation pour un meilleur contrôle est, pour lui, la solution idéale, car elle mènera à la réforme de l’institution et à ses mécanismes de contrôle des finances publiques. « La Cour a déjà pris le train de la modernisation. Depuis un certain temps, des séances